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 |  Sujet: Wilster Dinckel  Mar 15 Nov - 17:05 | |
| Wilster Edward
Dinckel ~ Nom et Prénom :
Wilster Edward Dinckel
~ Âge :
350 ans bientôt
~ Sexe :
Garçon
~ Matière :
Français, Philosophie et Théâtre
~ Professeur Principal ? :
Celle des Terminales x)
~ Race :
Immortel
~ Secret :
Il n'arrive jamais à garder ses secrets
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~Caractère~
Je suis plutôt du genre taquin, aimant enquiquiner mes élèves ou es collègues. De plus je déteste m'ennuyer, je ne fais que bouger ! Et je peux vous dire qu'en trois cent cinquante ans, j'en ai fait des choses ! Vous comprendrez que je ne suis pas timide, loin de là. J'aime aussi donner des surnoms à tout le monde, même s'ils n'aiment pas ça. Je raconte toujours des blagues (qu'elles soient débiles ou pas), il m'arrive aussi de faire des farces tout à fait idiotes. Je suis aussi un grand gentleman. Je suis tout de même très polie (surnoms mis à part), et ne tolère pas que quelqu'un discute durant mon cours. N'essayez même pas, ou vous passerez un très mauvais quart d'heure. Je peux être très méchant avec ceux qui me cherche, alors ne tentez pas le diable, vous perdrez à coup sur. Ça mit à part, je suis généralement gentil, prêt à aider les autres. Je suis aussi tête en l'air, je pense toujours à autre chose, et ma mémoire n'est pas bien génial, je confond toujours les dates... Heureusement que je n'ai pas fait professeur d'histoire...
| ~Description Physique~
Je n'en ai peut être pas l'air, mais du haut de mes trois cent cinquante ans, on ne me donnerait que vingt ans. Voilà pourquoi : Je suis d'une bonne taille, ni géant, ni nain, disons un mètre soixante dix, d'une corpulence je dirais... Normale ? A la rigueur un peu musclé, mais sans plus... Ne faisant que peu de sport, c'est tout à fait normal, et puis je n'ai aucune envie de ressembler à un géant à biceps. Ma peau est pâle, je n'aime pas tellement le soleil, je l'ai bien assez vu au cour de ma vie. Sinon mon visage, et faut dire que j'en prends grand soin, je m’appellerais beau gosse. Ba oui, je m'aime bien, et l'allure d'un professeur est toujours importante . Quels élèves écouteraient un vieux pourris mal habillé et puant ? Vous ? Non, bien sur. Et puis il faut plaire aux collègues, qui sait ce qui pourrait se passer (non, il n'y a aucun sous entendu x)). Alors donc, mon visage est fin, je dirais dans l'ovale pointu, avec un jolie nez aquilin. Mes yeux, d'un bleu sombre et clair à la fois, ça dépend de la lumière en fait, reflètent toujours mon humeur taquine. Ensuite, on pourrait m'appeler le parfait blondinet, couleur hérité de ma défunte mère. Je range généralement mes cheveux d'un coté de mon oreille, ou parfois encore éparpillé partout quand j'ai la flemme de me coiffer... Je porte toujours un costume trois pièces, habitude des diverses époques que j'ai traversé. Lors des grandes chaleurs, il peut m'arriver de porter une simple chemise tout de même. J'ai souvent de simple lunettes sur le nez, pour lire ou écrire.
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~Histoire~
1661. Année où Louis XIV annonça qu’il gouvernera seul. Année où Charles II, roi d’Espagne, est né. Année où tant de choses se passèrent. Pourtant, personne ne retint une simple naissance, qui eu lieu un 18 novembre, dans un des somptueux manoirs des Dinckel, famille peu connue vivant près de la frontière Allemande.
Comme il était de coutume à l’époque, ce fut une nourrice qui s’occupa du jeune enfant, ne voyant ses parents que rarement. Ce ne fut qu’à l’âge de six ans, que sa mère accepta de s’occuper un minimum de lui. Bien sur, c’était juste pour se faire passer pour une bonne mère, bien que cela soit totalement le contraire.
Cet enfant se nommait Wilster. Petit gamin blond trop curieux et qui refusait de rester en place.
Étant fils de noble, il eut de très bons professeurs, ce qui lui permit de devenir quelqu’un de très cultivé et intelligent.
Très vite, Wilster fut pris par la passion de l’écriture et de la lecture, et décida de devenir lui-même professeur ou journaliste, avec le désaccord de ses parents. A l’époque les nobles n’avaient pas à travailler…
À l’âge de ses dix-huit ans, il fut en âge de se marier, et qui dit noble, dit mariage arrangé. Il se maria donc avec Julia, une belle et jeune femme brune, joyeuse et agréable. Wilster pensa qu’il avait plus de chance que son cousin Benoit, qui s’était retrouvé avec une mégère de première classe.
Ils eurent trois enfants, deux filles et un garçon, Jelly, Marie et Edward. C’était la vie parfaite, ont pourrait dire. Wilster aimait sa femme, même s’il ne l’avait pas choisie, il aimait ses enfants, ils avaient une belle maison, et vivaient en paix. Quel pourrait bien être le problème me dirait vous. Wilster se rendit compte de ce « problème » à l’âge de quarante ans. Sa femme avait vieilli, ses enfants aussi, le plus vieux ayant 21 ans, et lui… Lui avait toujours l’air d’en avoir 20…
Sa femme se posait même des questions. Elle était toute ridée, lui avait la forme. Elle tombait souvent malade, lui passait son temps à aller de droite à gauche.
Et puis il attirait l’attention. Il était l’homme qui n’avait pas vieillit. Les habitants du village voisin commencèrent à se poser des questions sur eux.
Et c’était bien la dernière chose que l’homme qui ne vieillissait pas cherchait. Wilster partit donc sur les routes, les abandonnant. Les premiers mois furent difficiles, mais il se fit vite une place dans le monde du journalisme et de l’écriture, écrivant sous divers pseudonymes.
Puis le temps passa. Lentement. Trop lentement du gout de Wil. Il s’informait souvent sur ce que devenait sa famille. Il apprit que sa femme mourut en 1711. Soit dix ans après son départ. Certain racontait qu’elle avait perdu le gout de vivre après la disparition de son mari. Wilster s’en voulu toute sa vie, même aujourd’hui.
L’immortel vit le temps défiler devant ses yeux. Le siècle des Lumières, il y participa. La révolution française, il y était. Le coup d’état de Napoléon, il le lue dans les journaux.
Puis ce fut le XXème siècle. Celui des avancés dans tout les sens du terme. Mais il s’agissait aussi du siècle des guerres.
La première guerre mondiale fut la première à laquelle Wilster participa vraiment. Il était dans les tranchées, c’est tout ce dont il se souvint, ou dû moins, c’est ce qu’il dit avoir oublié.
Il y eut les crises des années trente, la monté du nazisme, puis ce fut le retour de la guerre mondiale, version seconde ! Aujourd’hui encore Wilster se demande comment il fit pour en réchapper. Il fait encore mine de ne pas se souvenir de cette époque.
Par chance, l’immortel échappa à la guerre d’Indochine et à celle d’Algérie. Il resta planqué dans un petit village du sud de la France, écrivant et lisant sans arrêt, évitant de se faire remarquer.
Ce n’est seulement il y a quelques années que Wilster découvrit l’école Lisienne, de la bouche d’une sorcière qui était passé dans le village. Il se demanda d’abord s’il devait y aller, puis décida que non.
Mais il commençait à s’ennuyer, planqué dans ce petit village où il ne se passait jamais rien. Alors il décida d’aller y enseigner ce qu’il savait sur ce qu’il préférait : le français, la philosophie et le théâtre.
Il devint donc le professeur bien connu que nous avons aujourd’hui. Plusieurs rumeurs trainent sur lui, comme quoi il aurait déjà enfermé des élèves dans le placard à balais pendant trois jours, ou encore jeté à la mer la concierge qui râlait toujours au moment de nettoyer sa chambre. Depuis il se la range lui-même…
Julia
  
Jelly~~~~~~~~Edward~~~~~~Marie
Vous
~ pseudo/prénom :
Wil, ça me va très bien comme surnom
~ age : 16 ! Mais pas pour longtemps x)
~ connexion : 6/7
~ impression du forum : >.> |
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