Ecole Lisienne
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Une école à l'apparence normale pour des élèves anormaux. H/Y/Y
 
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Amy Crow ~

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AuteurMessage
Amy Crow
Amy Crow
Messages : 49
Points : 4751
Date d'inscription : 16/11/2011
Age : 28
Localisation : T'es flic ou quoi ?!?

Feuille de personnage
Classe :: Seconde
Race :: Télépathe
Orientation Sexuelle: Bisexuelle
Amy Crow ~ Vide
MessageSujet: Amy Crow ~ Amy Crow ~ Icon_minitimeMer 16 Nov - 14:20

Amy
Crow
~ Nom et Prénom :
Crow Amy

~ Âge :
15 ans

~ Sexe :
Fille

~ Classe :
Seconde

~ Options :
Théâtre

~ Race :
Télépathe

~ Secret :
Elle est atteinte d'un dédoublement de personnalité. Son "autre moi" porte le nom de Zoey.
Amy Crow ~ 61782011
~Caractère~

La foule bousculait la jeune Amy. Les yeux rivés au sol, elle crut que sa tête était sur le point d’exploser. Assez. Assez. Assez ! Elle n’en pouvait plus de cette vie, de ce don qu’elle ne comprenait pas. Les larmes lui montèrent aux yeux. Une seule certitude lui vint : elle était seule, perdue entre deux mondes. Le sien composé de sa vie, de son existence. Et celui de chacun. Elle était à l’écoute pour les autres sans que ces crétins ne se rendent compte de rien. Des fois, elle avait envie d’en finir avec la vie. Ce fardeau était trop lourd à porter pour une fille de sa carrure. Elle n’avait pas les épaules pour cela. Toutefois, si ces idées noires la traversaient souvent, elle songeait bien vite à autre chose. C’était ce qu’il y avait de mieux à faire.
Souvent, elle aimait se comparer avec les êtres qui la frôlaient. Un simple contact et elle avait accès à la personnalité de chacun. Une concentration extrême et lisait en vous comme dans un livre ouvert. Il lui était impossible de contrôler parfaitement son pouvoir. Elle ne le comprenait pas et le craignait. Comment aurait-elle pu faire quoi que ce soit dans de telles conditions ? La tête entre ses jambes, elle rumina en silence, broyant du noir dans son coin. C’était souvent ainsi.
Un garçon – un gamin même – l’observa du coin de l’œil. Elle ressentit le regard lourd et pesant que lui lançait le môme. Elle se concentra et vit que ce gamin était son reflet au niveau du caractère. Tout comme elle, il était timide, craignait de prendre la parole en public pour s’exprimer librement. Ses parents avaient eu beau l’encourager à parler devant tous, elle n’y était jamais parvenue. De nature discrète, elle ne se faisait que très peu remarquer. Ses professeurs parlaient toujours d’elle en bien. Le théâtre eut un effet bénin sur sa personne. Elle adorait jouer durant des heures sur les planches. Être quelqu’un d’autre à chaque fois était une chose merveilleuse. Pendant quelques heures alors, elle oubliait ses problèmes. Rien d’autre ne comptait à ses yeux si ce n’est son jeu de scène. L’oral n’était pas son truc certes, mais elle excellait à l’écrit. Effacée, elle craignait le jugement des autres. C’était une des raisons pour lesquelles elle n’ouvrait pas la bouche en cours, ainsi que lorsqu’elle était en compagnie de ses amis. Elle écoutait avec attention chacune des paroles de son entourage mais y allait rarement de son petit commentaire. Elle souriait de temps en temps, riait rarement. Elle était bien trop absorbée par la misère humaine se répercutant dans chacun des coins de sa tête. Personne ne pouvait comprendre ce qu’elle endurait au quotidien. C’était bien là le problème. Trouver une oreille compatissante pour l’entendre se plaindre de sa vie n’était pas au programme.
Le garçonnet s’en alla, remplaçant une jeune fille au look de punk sur le pont. Amy la détailla avec attention. Elle aussi possédait un léger côté rebel. Bien sûr, elle ne le montrait pas ouvertement. C’était tout simplement invisible à l’œil nu. Ses fringues n’exprimaient rien, sa peau était vide de tous piercings et son corps dépourvu de tatouage. Pourtant, il y avait une part d’elle d’obscurité. Comme en tous. Mais elle, elle pouvait presque toucher cette autre qu’elle percevait au plus profond de son esprit. Elle ne saurait l’expliquer avec des mots. C’était angoissant. Elle avait l’impression que la mince part d’elle-même devait chaque fois se battre pour pouvoir survivre. Bien sûr, ce n’était qu’une impression.
Elle se pencha par dessus bord et faillit basculer dans le vide. Quelle idiote ! Sa tête tournait, elle dût s’asseoir et inspirer puis expirer calmement pour pouvoir enfin retrouver son souffle. Avoir le vertige était la pire des saloperies qui pouvait lui arriver. Lorsqu’elle eut retrouvé ses esprits, elle sortit une barre chocolatée de sa poche et croqua dedans. Le cacao avait le don de la calmer. Un formidable remède dont elle usait souvent. Trop peut-être. Mieux valait qu’elle se drogue au chocolat plutôt qu’à la fumette, non ? Elle inspira profondément une dernière fois avant de faire demi-tour. Les devoirs l’attendaient. Un rôle à répéter. Ce n’était donc pas une corvée. Un curieux plaisir aux sensations très étranges, même.

~Description Physique~

Un pas. Puis un autre. Elle avançait, cheminait en silence à la manière d’une marionnette. Elle n’était plus maîtresse de son corps, autrefois le sien. Zoey. Qu’avait-elle mérité pour être ainsi manipulée ? L’Autre lui murmurait des mots doux à l’oreille, lui disant que tout allait bien. C’est faux. Elle n’allait pas bien. Elle ne comprenait pas pourquoi Zoey la traitait ainsi. « Tu n’as pas étais sage » ne cessait-elle de répéter « Tu seras punie. » Non, elle ne voulait pas subir une nouvelle fois son courroux. N’avait-elle déjà pas assez souffert ? Des larmes coulaient sur ses joues opalines. Le vent fouettait son visage. Les embruns embrumaient ses narines. L’air de la mer saturait tout son environnement. Rien d’autre à perte de vue que de l’eau et encore de l’eau. Tout cela lui donnait le mal de l’air. La houle venait se projeter avec violence contre les supports du pont. Son corps ondulait sous le vent. Elle était roseau. Pliée sous l’air qui s’engouffrait dans chacune des parties de son corps. Elle ne faisait plus qu’un avec cet élément.
Là, elle surplombait le monde. Sa crinière brune ondulait telles des vagues. Une cascade d’ocre plongeait jusque dans son cou, serpentant ses épaules pour finalement se terminer en de magnifiques boucles au niveau de ses côtes. Amy tremblait : de peur ainsi que de froid. Elle pouvait presque sentir la houle lui lécher les plantes de pieds. Ses pieds si fins, si maigres, presque plaintifs. Des écorchures salissaient ses orteils. Sa peau entière en était recouverte. Zoey l’avait obligée à se mutiler. Zoey avait prit les devants lorsque la petite avait refusé. Elle l’avait fait souffrir. Les larmes coulaient toujours sur sa joue. Amy contemplait le vide qui s’offrait en dessous d’elle ainsi que l’eau, lisse et d’un bleu sans nom. Elle commença à chanter une comptine pour enfants. Cette même chansonnette que sa nourrice lui chantait le soir, pour combler l’absence de sa mère.
Chose étrange, ses yeux n’étaient pas encore gonflés, ou même rougeâtre suite aux pleurs qu’elle versait en silence. Ils avaient gardé leur fragilité d’antan. Toutefois, leur joie de vivre était inexistante. Seul le vide comblait ce manque. Ils avaient toujours leur même teinte noisette. Une couleur à faire pâlir plus d’un écureuil. Mais l’absence était la première chose que l’on remarquait lorsque notre regard se posait sur ces prunelles autrefois si indolentes, si fraîches. Elles n’étaient plus que l’ombre d’elles-mêmes. Un froid sans nom vous paralysait la gorge au contact du premier regard. Vous haletez, cherchez votre souffle et le reprenez au prix de périlleux efforts. Tout cela à cause de ces iris dont vous ne comprenez pas l’origine. Une détresse infinie se lit en chacun de ses yeux.
Amy éternua. Son nez droit et aquilin lui donnait des airs de grande fille. Mais au fond, ce n’était rien d’autre qu’une enfant. Ses lèvres prenaient une forme de deux cerises qui ne demandaient qu’à être croquées à pleines dents. Ses cils broussailleux lui donnaient un air de sauvageonne quoi que totalement fille civilisée. Quelques grains de beauté parsemaient son grain, tout cela donnait l’illusion que la petite Amy avait la peau maculée de plusieurs grains de sable en accord parfait avec ses iris. Le lobe de ses oreilles était percé de deux anneaux très discrets. Rien de bien tape à l’œil. Juste sobre.
Il est étrange de constater comme son humeur était en parfait accord avec son style vestimentaire du jour. Une absence totale de couleurs. Une absence totale de joie ou de bonheur. Le noir proférait petit à petit, jusqu’à la ronger complètement. Zoey allait gagner. Elle ne voulait pas lui laisser cette satisfaction mais il lui était impossible de lutter. Ses ballerines reposaient déjà au fond de l’eau. L’Autre l’avait forcée à les jeter en premier. Elle n’aurait de cesse que quand Amy lui aurait présentée ses plus plates excuses. Elle fit un pas puis un autre, toujours en direction du vide.
Elle pleurait en silence. « S’il te plaît » articula t-elle à l’attention de Zoey. « S’il te plaît… Tout sauf ça. Pitié. Pitié. » Un rire sortit de la gorge d’Amy – ou de Zoey – des éclats secs, sans émotion. Juste de la haine habitait ce timbre asexué. Son corps frêle et maigre se faisait ballotter par les différents vents, ne lui laissant aucun répit pour souffler un peu. L’Autre était heureuse de pouvoir voir sa marionnette ainsi maltraitée. « Zoey… Laisse-moi vivre. Nous ne formons qu’un. C’est tentant n’est-ce pas ? Pourtant, si jamais je chute dans le vide, toi aussi tu disparaîtras. À jamais. » Zoey parut réfléchir. Pas à pas, Amy redescendit du pont, dévoilant des traces de mutilations sur ses bras.



Amy Crow ~ 245612830075

~Histoire~

Sa mère. Sa putain de mère. Comme elle peut la détester. Si seulement cette pourriture pouvait mourir un soir, Amy serait la plus heureuse au monde. Beaucoup disent que cela ne se fait pas de souhaiter la mort d’une personne. Chose encore plus cruelle lorsque la personne en question est sa propre mère. Amy ne s’en cachait pas. Cette femme qui lui avait donné la vie n’était rien d’autre que sa génitrice. Cela s’en terminait là. Les câlins et autres tendresses que sa mère offrait aux autres n’étaient pas pour elle. Uniquement pour les hommes. Ses clients, donc. La première fois que sa mère lui avait parlé de son travail, elle avait choisit ses mots avec attention, avec précaution aussi. Mais pourquoi tourner autour du pot ? N’était-il pas plus simple d’appeler un chat un chat ? Toujours est-il que sa mère avait fait attention à ses paroles. Au bout du compte, Amy n’avait rien comprit du tout au boulot de sa mère. Elle avait six ans à l’époque. Comment diable, une femme aurait-elle pu expliquer à son enfant que son métier était d’offrir du plaisir aux hommes ? C’était tout bonnement impossible. Amy ne l’aurait pas supporté. Mais ce qui est arrivée par la suite n’est guère mieux. La petite ne voyait pratiquement jamais sa mère, toujours disparue entre deux clients, seule sa nourrice comptait à ses yeux. Elle se sentait bien plus proche de cette simple femme que de sa propre mère. N’est-ce pas douloureux à dire ? Mais au moins pouvait-elle s’épanouir plus ou moins pleinement en compagnie d’autres gamins de son âge. Tous des fils de pute. Ne voyez pas une insulte dans mes propos, c’est la vérité. Tous ces gosses ne voyaient que très peu leur mère étant donné qu’elles bossaient de nuit. Mais inutile de s’éterniser sur le sujet. Seule la vie d’Amy est au programme aujourd’hui.

Lorsque la petite eut huit ans, elle apprit que sa mère allait se remarier. Elle ne comprit pas d’abord. Déjà qu’elle n’avait jamais connu son père, sa chère maman se remariait en la prévenant au dernier moment ! Elle n’était pas prête. Mais la prostituée se fichait de l’avis de sa fille. Les circonstances de leur rencontre ? Amy aurait mis sa main au feu comme quoi cet homme était l’un de ses clients les plus fidèles. Mais lorsque Amy rencontra son beau-père en question pour la première fois, elle changea d’avis sur sa personne. Cet homme était bon, généreux, chaleureux… Un véritable père, en somme. Cependant, cet homme ne vivait pas seul. Il possédait déjà un garçon de quelques années l’aîné de la petite. Les deux enfants étaient toujours fourrés ensemble. Lui et elle étaient inséparables. Pendant que leurs parents filaient le parfait amour les jeunes gens eux, se rapprochaient de plus en plus l’un de l’autre. Au moins une chose de positive dans ce remariage. Shiki et elle ne se quittaient pas, ou très peu. Il était toujours là pour assurer ses arrières, la défendait lorsque quelqu’un parlait d’elle un mal et elle pouvait tout lui confier. Le grand frère parfait, en somme ! Malheureusement, tous les contes de fée ont une fin.
Shiki dut partir de la demeure de son père pour rejoindre celle de son oncle. Amy crut mourir lorsqu’elle apprit la nouvelle. Quand pourraient-ils se revoir ? Aucun des deux ne connaissaient la réponse à cette question. Si seulement Shiki n’était pas partit comme ça sur la demande de son père. Il aurait pu la protéger. Contre elle-même.

Peu de temps après le départ de son demi-frère, Amy fut sujette à des hallucinations. Enfin, c’est ce que crut, de prime. Des voix lui parlaient dans sa tête. La plupart du temps, elle entendait avec précision le timbre léger et sensuel de sa mère ou encore celui enjoué de son beau-père. Elle n’y comprenait plus rien. C’était à devenir folle ! Dans les rues, il lui arrivait souvent aussi de bousculer des personnes – maladroite comme elle était – et de sentir un lien se créer avec la personne en question. Un véritable lien d’empathie digne des plus grands films de science-fiction. Elle prit peur, paniqua, voulant faire taire les gens qu’elle entendait sous son crâne. Elle aurait aimé les faire taire. Elle se croyait folle. Qui pour en parler ? Personne. Elle était complètement seule face à cela. Son beau-père aurait tourné la situation en ridicule, sa mère l’aurait rembarrée sévèrement. Pire, elle aurait très bien pu la faire incarner. Finalement, le seul à qui elle aurait pu se confier était Shiki. Mais il n’était pas là pour le moment. Vivre avec cela allait la tuer à force.
Elle comprit plus tard qu’elle était différente des êtres normaux. Elle possédait un don très rare et unique que les humains mépriseraient si jamais elle venait à en parler. Elle garda le silence sur son pouvoir de télépathie. Lorsque Shiki lui parlait au téléphone, elle ne lui en soufflait mot, trop effrayée par la réaction qu’il pourrait avoir. Si jamais il la repoussait. Elle ne le supporterait pas. Shiki était la seule personne qu’elle appréciait véritablement. Les autres ne comptaient pas à ses yeux.

Lorsqu’elle eut quinze ans, la petite apprit à contrôler davantage son don. Les voix des autres s’étaient tues, lui laissant un peu de répit pour elle-même. Mais les cauchemars avaient commencés. Ses nuits n’étaient pas saines, elle bougeait, hurlait dans son sommeil et se réveillait tout le temps en sueur. Elle n’en pouvait plus de cette vie. D’autres voix commencèrent à lui chuchoter des choses étranges à l’oreille. Elle ne comprenait pas ce que tout cela voulait dire. Des langues mortes. De l’araméen. De l’araméen biblique. L’araméen des manuscrits de la mer Morte. La langue de Satan, quand il s’est adressé à Jésus, dans le désert. Du latin aussi. Ce qu’elle entendait le plus souvent était « Dina hou be’ovadâna ». Elle ne saisissant pas le sens de cette phrase. Mais la nature de son Mal était différent de la dernière fois. Si au début, les voix qu’elle entendait étaient celle de son entourage, les murmures angoissants lui strident l’oreille n’étaient rien de connu. Les voix se muèrent pour ne former plus qu’une seule : l’Autre. C’est ainsi qu’elle l’appelait. Il lui arrive de laisser le contrôle à cette autre être lorsque la rage se fait trop grande. Elle n’y peut rien. Hors d’elle, elle ne contrôle plus rien. Son corps n’est plus le sien, elle devient uniquement spectateur du Mal que commet l’Autre. Heureusement, ce genre de désagrément ne se répète pas tout le temps. Seulement de temps en temps. À force de parler, de communiquer avec cette Autre, elle finit par lui donner un nom : Zoey.
Si seulement il n’y avait que ça. L’idée de persécution grandissait peu à peu dans sa tête. Elle avait l’impression que le monde entier lui en voulait pour quelque chose qu’elle ne comprenait pas, qu’elle n’avait pas commise.
Elle apprit à se familiariser avec son « autre moi ». Elle l’écoutait des heures durant. Elle avait enfin réussit à palier l’absence de Shiki. C’est ce qu’elle cru au début. Zoey s’avéra être une ennemie, et non une alliée. Elle ne cessait de la forcer à faire des choses qu’elle détestait. À faire du mal aux autres essentiellement. Zoey l’a d’abord forcé à faire du mal aux bêtes. Amy, idiote, l’a suivie. Des animaux… Qui s’en soucierait ? Mais le jeu a prit des ampleurs différentes. De blesser, la règle devint tuer. Amy n’était plus d’accord. Elle expliqua à son Autre qu’elle ne supportait plus cela. Zoey ne voulut rien savoir « Maintenant que l’on s’est trouvées, c’est à la vie, à la mort, toi et moi. » Comment la situation avait-elle pu se détériorer aussi rapidement ? Quand Amy avait-elle perdu le contrôle de ce qui lui arrivait ? Tout était allé si vite. Pour en finir, Amy essaya de faire des tentatives de suicide, toutes ratées suite à l’intervention de Zoey. Comprennent qu’Amy ne se laisserait plus faire, Zoey la réduisit au rang de simple spectateur. Dès que ses émotions prennent le contrôle, la petite ne contrôle plus rien. Son Autre se sert de son don de télépathie pour faire le mal et pour détruire bon nombre de système nerveux.
Et sa mère dans cela ? Inexistante. Elle s’était davantage effacée encore qu’autrefois. Il ne lui restait plus que son beau-père. Elle se mit alors à la recherche de son père biologique. En vain. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Elle abandonna bien vite cette idée. Elle avait déjà demandé maintes fois à sa mère qui était son père : sans résultat. Elle aurait très bien pu fouiller dans son crâne pour extraire la réponse mais elle n’était pas sûre d’elle-même.
Lasse de comprendre ce qu’elle était, elle partit pour une école portant le nom de Lisienne. Elle en avait entendu parler. Quelques échos lui étaient parvenus aux oreilles. Et puis, qui sait ? Peut-être aurait-elle la chance de croiser à nouveau Shiki ?


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