Ecole Lisienne
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Une école à l'apparence normale pour des élèves anormaux. H/Y/Y
 
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Shaé Lysande ~

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AuteurMessage
Invité
Invité
Shaé Lysande ~ Vide
MessageSujet: Shaé Lysande ~ Shaé Lysande ~ Icon_minitimeDim 25 Déc - 15:56

Shaé
Lysande
~ Nom et Prénom :
Lysande Shaé

~ Âge :
17 ans

~ Sexe :
Fille

~ Classe :
Terminale

~ Options :
Histoire des Espèces/Magie

~ Race :
Thérianthrope

~ Secret :
Pas qu'je sache.
Shaé Lysande ~ Evemillais02
~Caractère~

Assise sur une chaise, Shaé somnolait devant un documentaire animalier passant en revue les différents prédateurs. L’émission attribuait à chacun des « monstres » la personnalité qui lui est propre. Il est étrange de constater que la plupart de ces animaux ne font qu’un avec le caractère de la jeune fille à la tignasse sombre.
Le Chat. Le chat est indépendant et entêté. Moins affectueux que la majorité des chiens, il vit sa vie sereinement, parfois sans d'autre préoccupation que l'heure du repas. Voilà l’un des félins les plus joueurs et plus câlins mais qui est toutefois énormément paresseux, le calme est l’endroit idéal pour une telle boule de poils. D'un naturel curieux, le chat explore passionnément chaque recoin de la maison, du jardin à la découverte d’un nouveau monde ainsi que de l’inconnu. Calme, le chat peut être agacé par le bruit et les mouvements brusques. Le principal danger de cet animal ne réside pas en ses crocs mais en ses griffes qui peuvent vous faire perdre un œil si jamais vous décidez de tirer la queue à un gentil minou. Véritable acrobate, ce félin plus petit que la moyenne n’aura pas peur de grimper aux arbres, le problème se pose alors pour redescendre. Pendant tout le commentaire du présentateur, Shaé n’avait pu s’empêcher de changer tout le temps de place, trouvant ces conneries des plus pitoyables.
L’Aigle. La beauté, la force ainsi que le prestige. Voilà les quelques mots à retenir pour définir un tel rapace. Symbole céleste et solaire, l’aigle capable de s’élever au-dessus des nuages et de fixer le soleil droit dans les yeux : véritables prince, mieux roi des nuées. Mais derrière tous ces compliments, ce prédateur possède aussi un aspect maléfique. L’aigle est le rapace cruel, le ravisseur. Il est aussi parfois symbole d’orgueil ainsi que d’oppression. Sa vue périphérique est un formidable atout qu lui est très utile lors des parties de chasse, ses serres aussi, vous briseront nettes, vous ne sentirez aucunement la douleur : vous serez déjà mort lorsque l’animal vous dégustera. De pire en pire. Bien sûr, il y avait un peu de vrai mais très peu ! Cela reflétait-il son caractère si elle prenait exemple sur l’aigle ? Elle n’y croyait que très peu.
Le Loup. Le loup est l’emblème du bandit, le fléau de la propriété, le plus rusé et le plus audacieux des ennemis de l’homme, mais il possède néanmoins des qualités. C’est le plus infatigable et le plus actif de tous les quadrupèdes ... Vivant côte à côte avec l’homme, il s’est instruit de sa tactique, il a étudié ses manœuvres, il a appris à son école le grand art de la guerre. La prudence et la circonspection président à chacun de ses actes, soit qu’il attaque, soit qu’il ait à se défendre ; il ne se pardonnerait pas d’omettre le moindre élément de succès dans la lutte désespérée qu’il soutient contre l’homme ... Le loup l’emporte sur le chien par la finesse de l’ouïe, de l’odorat, de la vue, par la vigueur des muscles, par la puissance de la mâchoire, par la mémoire des lieux, par le talent de l’observation, par le génie de la combinaison stratégique ... Le loup n’est pas poltron ; il n’aime pas à exposer inutilement sa vie, c’est vrai, mais c’est là de la sagesse et non de la couardise. Le vrai courage se caractérise par le sang-froid en présence du péril. À nouveau, Shaé bougea sur sa chaise, ne sachant pas si elle devait croire ou non ce qu’elle entendait à la télévision. Pour une fois qu’on ne parlait pas à mal du loup, c’était une première !
Elle éteignit le poste de télévision, bien décidée à aller se coucher. Et les autres prédateurs, alors ? Etait-ce ainsi qu’elle était ? Un peu de chat, une pincée d’aigle et un soupçon de loup ? il est vrai qu’elle n’avait pas un caractère des plus difficiles. Après tout, peut-être était-ce la vérité.

~Description Physique~

L’animal était là, prêt à bondir sur sa proie. La panthère n’avait pas l’habitude d’un tel territoire. D’ordinaire, les steppes enneigées de la Mongolie étaient son domaine. Tout était nouveau, ici. L’herbe fraîchement coupée était une odeur que l’animal ne connaissait que très peu. Sa fourrure sombre passait difficilement inaperçu dans la neige, sans doute était-ce pour cela que sa famille avait eu moins de chance qu’elle. Son poil s’accrochait par endroit aux branches ou aux orties, à chaque arrêt que la nature lui imposait, elle feulait une nouvelle fois. Sa queue battait le vent, quelques moineaux insoucieux se posaient près de ses oreilles taillées en pointes, toutes aussi sombres que sa fourrure imposante. Ses yeux paraissaient foudroyer du regard les pauvres volatiles qui s’enfuyaient bien vite. Des yeux de jais transperçant tout sur leur passage. Une grâce ainsi qu’une souplesse sans nom émanaient de ce fauve, prédateur respecté au cœur de la jungle. Elle feula une nouvelle fois, l’herbe parut s’incliner devant ce cri rauque et sauvage. Elle s’élança, pourfendant chaque obstacle se mettant en travers de son chemin puis disparut derrière un bosquet.
Un caïman lourd, pesant, agitant sa queue de droite à gauche, remuant de la terre au passage apparut. Ses écailles étaient toutes plus sombres les unes que les autres, il ne semblait pas à l’aise loin de l’eau. Ses yeux paraissaient morts, vides, pourtant c’était bien un prédateur à l’affût qui était là. Il ouvrit la gueule, dévoilant ses crocs, tous plus impressionnants dans cette rangée qui semblant ne jamais en finir. Des moineaux s’approchèrent, voulant lui enlever les saletés traînant près de ses yeux, il fit claquer ses dents aussi pointues que des hameçons, observant les animaux s’envolaient en un battement d’ailes. Il s’avança entre les touffes d’herbe hautes pour devenir invisible, se camouflant dans cette nature sauvage à merveille.
Un aigle transperça les nuées, volant avec aise entre les nuages, se jouant du vent, virevoltant, valsant presque avec cet élément impalpable et immatériel. Rien ne pourrait jamais l’arrêter : il était le prince des cieux. Ses ailes fendaient les airs, son corps entier semblait être fait de cobalt. Les deux billes lui servant d’yeux se posaient partout et nulle part, sa vue périphérique lui était alors très utile pour chasser un rongeur tout en conservant sa trajectoire. Il semblait être une ombre planant au-dessus des nuages, belle opposition entre le noir de sa morphologie et le blanc des cumulus poussés par le vent. Un élan de puissance émergeait de cette bête, le sentiment que rien n’était impossible à un tel prédateur. Ses serres immenses pouvaient tout broyer en un instant. Il battit plusieurs fois des ailes avant de se poser en douceur sur le sol.
L’oiseau n’était plus. Une jeune fille se tenait là, recoiffant sa crinière de jais dans cette forêt perdue au milieu de nulle part. Elle semblait si fragile, si innocente tout en étant perdue à la fois. Il ne restait plus rien des trois monstres dont elle avait emprunté la forme quelques instants plus tôt. Il ne restait rien des trois prédateurs si ce n’est le noir toujours omniprésent. Cette couleur semblait faire partie intégrante de son corps, une teinte indissociable. Ses yeux avaient pourtant gagné leur même teinte sombre, la flamme brûlant dans ses iris était toujours aussi discernable. Toute fine, elle ressemblait à une poupée dont il fallait prendre soin, dont le moindre mouvement pouvait la briser en mille morceaux. Elle remit en place son chapeau, ce chapeau qu’elle affectionnait tant et qu’elle conservait toujours avec elle pendant les hivers, s’examina des pieds à la tête avant de commencer à marcher. Fini le temps des amusements. Son manteau noir la protégeait parfaitement du froid, certains pourraient croire que le noir est la couleur fétiche de cette petite mais la vérité est toute autre. Son menton et son nez lui donnaient un petit air autoritaire, ses iris semblaient faire d’elle une femme glaciale alors que c’était tout le contraire. Ses oreilles commençaient à rougir suite au froid. Peut-être serait-ce une bonne idée que de rentrer tout de suite. Elle bailla longuement avant de prendre le chemin du retour. Sa peau pâle était commune aux membres de son ancienne tribu – ethnie qui n’était plus. Tout en avançant entre les hautes herbes, une question ne cessait de la hanter : était-elle la dernière de sa race ou restait-il un espoir, même infime, pour qu’elle ne soit pas seule ? L’avenir le lui dirait.



Shaé Lysande ~ 1139496158

~Histoire~

La neige les ralentissait. À peine avaient-ils fait un pas que l’enfant chuté à cause d’une racine dissimulée sous plusieurs couches de neige. Sa mère n’eut d’autre choix que de la prendre dans ses bras pour que le trajet soit plus facile à effectuer. Les coups de feu retentissaient dans la nuit.
La ruse n’avait pas fonctionné. Du moins, pas aussi longtemps que ce que le peuple l’aurait souhaité. Après avoir tué leurs bêtes, les Oroqens s’étaient réfugiés à l’intérieur de leurs corps. Sous les viscères et autres organes des rennes, ils étaient bien dissimulés. Les idiots qui les traquaient n’y avaient vu que du feu. Sans doute avaient-ils cru qu’ils étaient partis se réfugier dans les montagnes, dans un tel cas de figure, la mort était assurée. L’hiver approchait et personne ne pouvait survivre bien longtemps dans les hauteurs de la Mongolie sans nourriture et sans chaleur. Mais voilà, l’un des petits derniers de la tribu avait eu le malheur de parler. Les hommes présents pour constater l’étendue des dégâts n’avaient eu alors qu’à prendre leurs fusils et à tirer sur les dépouilles des bêtes. Des animaux sombres étaient alors sorti de nulle part. Les plus aguerries avaient pu prendre la forme d’un rapace pour échapper à leurs poursuivants les autres n’avaient eu d’autres choix que d’emprunter l’enveloppe corporelle d’un fauve tout aussi noir. Les balles avaient alors sifflé près de leurs oreilles : morts sur le coup. Les plus jeunes avaient su feinter leurs adversaires en adoptant une apparence de chiot ou de chaton beaucoup plus discrète qu’un autre grand félin ou canidé prédateurs. Sa mère était donc devenue une magnifique panthère, tenant sa fille ventre ses crocs pour éviter qu’elle ne tombe et finisse en pâture aux chasseurs encore présents. La traque avait alors commencer. Pourquoi ces hommes souhaitaient-ils la mort de la tribu ? L’enfant avait entendu dire que ces stupides humains avaient essayé de développer les mêmes dons qu’eux et que, par conséquent, ils avaient embauché l’un des chamans de l’ethnie. Malheureusement, ce dernier avait daigné rien leur dire. Le silence avait alors déchaîné leurs colères, les Oroqens furent obligés de partager leurs bêtes avec les Russes, ce que la tribu refusa. Lorsque les hommes vinrent chercher leurs biens, ils ne trouvèrent alors que des bêtes massacrées avec une barbarie inimaginable.
Les balles sifflaient toujours près de l’oreille de Shaé, la mère reprit alors forme humaine, derrière une bute de neige. Les deux femmes étaient toutes deux trempées. La jeune femme serra une nouvelle fois son enfant dans ses bras avant de lui poser son chapeau sur la tête, qui glissa le long de son front tant il était trop grand pour une gamine de huit ans. Sa mère réussit à laisser échapper un sourire discret avant que le désespoir ne se lise à nouveau en ses yeux.
- Torak va arriver, ma puce. Il prendra soin de toi, ne t’inquiètes pas.
- Et toi Maman ? Tu vas revenir, n’est-ce pas ?
- Je suis désolée Shaé mais je ne peux pas rester ici. Cache-toi le temps que ton frère arrive. Lui et toi partirez vers l’Occident, là où vous serez sûr que plus personne ne vous voudra du mal.
Une larme roula le long de la joue de la femme, elle étreignit une dernière fois la petite contre elle avant de reprendre la forme d’une panthère à la couleur semblable à la nuit. L’animal lécha une dernière fois son enfant avant de disparaître entre les steppes enneigées. Shaé se recroquevilla alors sous la forme d’un chaton, jouant avec les rares herbes que la neige ne recouvrait pas, essayant de passer le temps comme elle pouvait. Son grand frère ne mit pas longtemps à arriver. Shaé espérait encore revoir sa mère mais plus rien. Avait-elle survécu ? S’en était-elle sortie ? Lorsqu’elle vit Torak, elle se jeta dans ses bras et pleura toutes les larmes de son corps. Elle avait vu tant d’amis mourir lors de cette fuite improvisée. Si seulement ce gamin n’avait pas bougé, peut-être toute sa famille serait-elle encore en vie, peut-être rien de tout cela ne serait arrivé. Elle pleura longuement, elle ne s’arrêta que lorsque son grand frère la plaça sur ses épaules. Les coups de feu s’étaient atténués. Peut-être le massacre était-il enfin terminé. En tout cas, la jeune fille l’espérait de tout son cœur. Elle crocheta ses jambes contre les épaules de son grand frère et posa sa tête contre celle de Torak, fermant les yeux et se laissant balancer par les secousses que produisait chacun des pas de l’aîné.

La France fut une terre d’accueil splendide. Malheureusement, Torak ne pouvait garder sa jeune sœur avec lui, il la confia donc à une famille d’accueil qui retrouvèrent en la petite demoiselle leur enfant perdue. Elle fut nourrie, choyée et reçue tout l’amour qu’un enfant pouvait disposer. Au final, elle commença à oublier sa famille, sa vraie, au fur et à mesure que les années passèrent. Elle avait tout oublié de ses origines et fut la première surprise lorsque, un beau matin, elle alla courir dehors pour faire un peu d’exercice. Elle n’était plus humaine. La belle adolescente avait laissé place à une panthère noire. Elle observa longuement son reflet dans le clair de l’eau avant de tenter de reprendre forme humaine. En vain. Elle dû donc retourner chez elle sous la forme d’un fauve. Rien de bien discret, je dois l’avouer. Plusieurs personnes la virent ainsi et lorsqu’elle se présenta chez ses parents adoptifs, ils lui claquèrent la porte au nez. Un geste que nous aurions tous adopté, je pense, si un tel monstre se présentait à notre porte. Pourtant, elle resta devant l’entrée, grattant encore et encore jusqu’à ce que sa mère adoptive reconnaisse les yeux sombres de Shaé. Là, elle fini par la faire entrer. Après plus de quelques jours passés sous forme animale, l’adolescente maintenant âgée de 15 ans finit par retrouver son apparence humaine. Lorsque les adultes lui demandèrent des explications, elle ne sut quoi dire.
La vieille ressortit alors les photos de l’arrivée de Shaé accompagnée de son grand frère, Torak. Elle ne s’en souvenait qu’à peine. Elle lui apprit aussi ce qu’elle devait savoir sur son ancienne tribu : les Oroquens. Une ethnie minoritaire désormais dont les rares survivants se cachaient toujours des Russes qui avaient souhaité leurs morts. Shaé commença donc à faire des recherches de son côté, elle se concentra uniquement sur les pouvoirs qu’elle possédait pour comprendre leurs origines. Elle ne fut pas surprise de découvrir que cette ethnie, comme la plupart de Sibérie ou de Mongolie, pratiquaient le chamanisme. Elle alla voir plusieurs ethnologues spécialisés sur les tribus infimes, notamment sur les Oroquens mais cela fut en pure perte.

Rien. Il n’y avait rien qui ici qui puisse la renseigner réellement sur ses origines. Des électrodes étaient arrachés de leurs fils, des éprouvettes étaient brisées au sol. Shaé déglutit avec difficulté. En tout cas, cela ne sentait pas la rose, ici. Elle serra davantage son manteau de laine noir et remit en place son chapeau qui dissimulait une partie de sa chevelure ainsi que ses oreilles. Plusieurs cages étaient empilées les unes sur les autres. Quelles sortes d’expériences pouvait-on commettre dans un tel lieu ? Un bruit attira son attention. Elle sortit ses dagues, au cas où un éventuel visiteur la surprendrait, mais ce n’était rien d’autre qu’un misérable chat noir. Il lui fallut du temps pour comprendre que ce félin n’était peut-être pas si ordinaire que cela, elle s’approcha de lui et commença à lui parler. Pour toute réponse, elle eut droit à un simple coup de griffe sur la joue.
- Cela ne sert à rien de communiquer avec lui. Il a été traité comme une bête depuis trop longtemps pour qu’il daigne te répondre.
Shaé tourna la tête vers l’homme. Il portait des lunettes dont l’un des verres était brisé, ses cheveux poivre et sel permettaient de se faire une idée précise de son âge déjà bien avancée. À la main droite, le canon d’une arme braquée sur la jeune fille.
- Toi aussi, tu es l’une des leurs, n’est-ce pas ? J’attends ce jour depuis tellement longtemps. L’honneur de saigner moi-même l’un de ces chiens galeux !
Il fit un pas, puis un autre. Shaé n’eut d’autre choix que de reculer jusqu’à finir bloquée entre l’homme et un mur. Elle observa rapidement les alentours : aucun issue. Elle ne pouvait rien faire d’autre si ce n’est attendre la mort. Il lui fallait gagner du temps. C’était la seule solution qui lui venait à l’esprit.
- J’ai le droit de savoir ce qui leur est arrivé !
Il cracha au sol avant de reprendre :
- Leur histoire est sans intérêt ! Tout ce que je vais te dir,e c’est que tu vas crever, tout comme eux. Satisfaite ?
Non. Pas satisfaite. Elle puisa dans le peu de ressource qui lui restait et se transforma en une louve au poil sombre. La balle siffla aux oreilles du canidé. La main de l’homme était en sang, l’animal était prêt à la lui arracher. Mais au lieu de cela, la louve s’en alla vers les steppes enneigées.

Lisienne. La vie serait-elle meilleure ici ? Au moins pourrait-elle apprendre à utiliser correctement ses dons. Et puis, elle ne serait plus jamais traquée. Voilà l’avantage que lui procurait cette école. Elle soupira avant de traîner ses valises dans l’établissement. Elle plaignait déjà les élèves et les professeurs qui devraient supporter son caractère volcanique. Un sourire illumina son visage.


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Shaé Lysande ~

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